mercredi 27 juin 2012

[HRP] Les royaumes humains : Dalaran

Dalaran. La plus grande concentration de magie en Azeroth, en dehors de Quel'Thalas. (Arthas: Rise of the Lich King, page 165)
Nous allons aujourd'hui évoquer le lore de Dalaran, l'une des sept Cités-Etats humaines, qui n'est absolument pas étrangère aux Hauts Elfes et Elfes de Sang. J'apprécie particulièrement le rp de mage, et encore davantage le rp relié au Kirin Tor, et je ne pouvais donc que me plonger dans la lecture de ce post du forum Scrolls of lore, qui recense un grand nombre de citations issues des sources officielles (livres, manuels de jeux...) Je vous en propose donc une traduction partielle, en espérant rendre service aux non-anglophones :)

Je ferai suivre ce post d'une suggestion de transmogrification pour ressembler aux PNJ qui peuplent les rues de la Cité des Mages !



Concernant le symbole de la cité et la tenue des habitants de Dalaran :

Sur sa robe, au niveau de la poitrine, on avait brodé un oeil d'or sur fond violet. Sous l'oeil se trouvaient trois dagues, également dorées, pointées vers le bas. Iridi reconnut le symbole de Dalaran. (La Nuit du Dragon)

Une seconde vague de soldats se présenta. Celle-ci comptait des mages, vêtus des robes pourpres de Dalaran brodées du symbole du grand Oeil. (Arthas: Rise of the Lich King, page 171)

Bien qu'il soit présentement vêtu des simples robes pourpre et or d'un mage de Dalaran, et non des atours luxueux qu'il portait lors des occasions officielles, il ne se départissait pas de sa raideur. (Arthas: Rise of the Lich King, page 51)


Concernant la magie de la Cité :

Et ils étaient en possession de l'Oeil de Dalaran, l'un des artéfacts les plus puissants de la cité. (Au-delà de la porte des ténèbres, page 37)

Le Coffre Arcanique se trouvait près du coeur de la Citadelle Pourpe, et était protégé par les plus puissants sorts que les mages pouvaient manier. Il contenait un grand nombre d'artéfacts puissants de la cité, ainsi que certains objets que les mages ne pouvaient utiliser eux-mêmes, mais n'auraient jamais risqué de voir tomber dans les mains de qui que ce soit d'autre. (Au-delà de la porte des ténèbres, page 37)

Concernant l'entraînement des mages :

"Vous connaissez des choses concernant les démons ?"
"Bien entendu, monsieur," dit rapidement Khadgar. "Je veux dire, je connais les légendes, monsieur. Et je connais également les abjurations et les protections adéquates. Tous les mages de Dalaran se voient enseigner cela dès leur premier jour d'entraînement." (Le dernier gardien, page 17)

La plupart des leçons qu'on lui avait enseignées étant enfant à propos des mages non issus de Dalaran se terminaient de la même manière : sans restriction, sans contrôle et sans sagesse, les magiciens autodidactes finissaient immanquablement mal (et parfois, bien que pas toujours, en détruisant avec eux une bonne partie de la région où ils vivaient.) (Le dernier gardien, page 11) 

Khadgar laissa son esprit s'apaiser. Ce n'était pas un sort de bataille, lancé dans l'urgence. Mais plutôt un sort profond et puissant, l'un de ceux qui, s'il les lançaient au sein de la Citadelle Pourpre, déclencheraient toutes les abjurations d'alerte des autres mages et les feraient immédiatement accourir vers lui. (Le dernier gardien, page 51)

"Il attendra," dit Medivh en hochant la tête. "Il est très doué pour attendre, cet Anduin Lothar. A présent, dites-moi, qu'avez-vous appris sur les démons durant votre séjour à la Citadelle Pourpre ?"
...
Khadgar inspira profondément. "L'enseignement officiel de la Citadelle Pourpre, au Kirin Tor, est que la démonologie doit à tout prix être évitée,  qu'il faut s'en prémunir et l'abjurer. Toute tentative d'invoquer des démons doit être découverte et interrompue, et l'on renvoie toutes les personnes impliquées. Ou pire. On colportait certaines histoires parmi les étudiants, lorsque j'étais plus jeune."
...
Khadgar inclina la tête en réfléchissant, choisissant ses mots avec précaution. "Korrigan, notre bibliothécaire académique, avait une collection importante de... matériel à sa disposition."
...
"Ce fonds contenait surtout des légendes folkloriques et des rapports d'autorités locales concernant des adorateurs de démons. La plupart parlait d'individus qui avaient accompli des actes abjects au nom de quelque vieux démon issu d'une légende ou d'une autre. Il n'y avait rien concernant le fait d'invoquer un démon en lui-même. Pas de sorts, pas d'inscriptions arcaniques." Khadgar se rapprocha du cercle de protection. "Pas de rituels." (Le dernier gardien, page 66)

Concernant la vie dans la Cité, de manière générale :

"Buvez-vous ?" demanda Medivh.
"Un peu", répondit Khadgar. "Il est de coutume de servir du vin au dîner, à la Citadelle Pourpre." (Le dernier gardien, page 43)

 On avait trouvé Guzbah assassiné dans la bibliothèque la veille de la Fête des Scribes, parmi les pages ouvertes du Traité de Denbrawn sur la "Chanson d'Aegwynn". (Le dernier gardien, pages 81-82)

 "Il y avait quelques gnomes à Dalaran, jadis" dit Khadgar. "Et j'ai rencontré des artificiers nains à la Citadelle Pourpre." (Le dernier gardien, page 17)

Khadgar dodelina de la tête au-dessus du porridge et des saucisses. L'essentiel des conversations du petit-déjeuner concernant Dalaran, en général. Ce qui était populaire à Dalaran, et quelle était la mode du moment en Lordaeron. Quels étaient les sujets de débats dans les salles du Kirin Tor. Khadgar mentionna que lorsqu'il était parti, la question philosophique en cours consistait à se demander si lorsqu'on créait une flamme par magie, on la créait de toute pièce, ou si on l'invoquait depuis une dimension parallèle. (Le dernier gardien, page 24) 

Kael'thas : "Dalaran est une merveilleuse cité, et certains des mages les plus doués d'Azeroth vivent ici. Je sais que vous y apprenez beaucoup. Mais je pense que vous prendriez plaisir à visiter un pays entier où la magie fait à tel point partie de la culture. Où elle n'appartient pas juste à une partie de la cité, où elle n'est pas confinée à une poignée de mages éduqués, à l'élite. (Arthas: Rise of the Lich King, page 52)



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